Escroqueries du logiciel privateur
Le logiciel non libre (privateur) est très souvent malveillant (conçu pour maltraiter les utilisateurs). Il est contrôlé par ses développeurs, ce qui les met en position de pouvoir vis-à-vis des utilisateurs ; c'est l'injustice de base. Les développeurs et les fabricants exercent souvent ce pouvoir au détriment des utilisateurs qu'ils devraient servir.
Cela prend habituellement la forme de fonctionnalités malveillantes.
Voici des exemples de logiciels privateurs qui escroquent les utilisateurs, qui leur prennent leur argent par la ruse.
Si vous avez connaissance d'un exemple qui devrait se trouver sur cette page mais n'y figure pas, n'hésitez pas à écrire à <webmasters@gnu.org> pour nous en informer. Merci de fournir les URL d'une ou deux références fiables et spécifiques pour l'étayer.
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2021-06
La société Peloton, qui fabrique des tapis roulants, a récemment verrouillé une fonction essentielle des tapis de ses clients par une mise à jour logicielle. Elle demande maintenant un abonnement pour ce que les gens ont déjà payé.
Le logiciel du tapis roulant est privateur et inclut probablement des portes dérobées pour forcer les mises à jour. Cette histoire nous donne une leçon : si un produit communique avec des réseaux extérieurs, on peut s'attendre à ce qu'il acquière de nouvelles fonctionnalités malveillantes.
Le fabricant dit qu'il était en train d'annuler ce changement, de sorte que les clients n'auront plus besoin d'un abonnement pour utiliser la fonctionnalité verrouillée.
C'est apparemment la colère du public qui a fait reculer la société. Si nous voulons que cela devienne notre bouclier, nous devons faire monter la colère contre les maliciels (et contre le logiciel privateur, qui est leur point d'entrée) au point que même les sociétés les plus puissantes n'oseront plus la braver.
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2019-08
Un jeu publié sur Facebook avait pour but d'inciter les enfants à dépenser de grosses sommes sur le compte de leurs parents sans leur donner d'explication.
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2014-01
Certains jeux privateurs emploient la ruse pour inciter les enfants à dépenser l'argent de leurs parents.